Au sommaire, des interviews très développées avec le Ministère des Affaires Populaires, Don Letts, Mikey Dread, Cockney Rejects, le dessinateur libertaire Seth Tobocman, des articles sur "la rencontre du punk et du reggae", les paroles traduites de The Guns of Brixton, un hommage à Desmond Dekker, le théâtre tatoué de Pascal Tourain, les photos de la fresque réalisée pour Chéri Bibi par les Freskilleurs (Gomé, Jahno, Les Krokagas, Riri et Tôma)... Clément Trompette, "du son des oubliettes", exhume les groupes afro-beat du Bénin des années 70/80, en particulier T.P. Orchestre Poly-Rythmo, Les articles sont sont longs et documentés, passons aux (nombreuses) chroniques, sorties de livres, disques, films "Chéribibeat" (musique) : Chorale Abalabu, The Bellrays, The Caroloregians, Da Gous Ket Ramblers, Deepwound, Enri, Firebug, Hub City Stompers, Intellectuals, Irma Thomas, The Janitors, The Productions Of Joe Mansano, Ken Park, Laura Lee, La Fraction, Lucrate Milk, Magic Lord & The Mighty Drakkars, Nouvelle Vague, Thierry Cokrane & The Schlockmeisters, "Chéribibli" (bouquins) : "Can't stop won't stop" (Jeff Chang), "Glue Ink Rebellion" (Sean Carswell), "La Jungle" (Rackham), "Upton Sinclair" (Peter Kuper), "La Petite Maison dans la Zermi" (Thierry Pelletier), "Les Nombreuses Vies de Fantomas" (Etienne Barillier), "Made in the UK - The Music of Attitude 1977-1983" (Janette Beckman) "Off The Map" (Kika Kat & Hib Chickena), "Wall and Piece" (Banksy) et les fanzines Apatride, Banana, Dynamite, Jump Cut, Kangourou, Recoins et Rotten Eggs Smell Terrible, Chéribibis (cinoche) : Calamari Wrestler, The Best of Soul Cinéma (Truck Turner, Black Caesar, Black Mama White Mama, Coffy et Foxy Brown), This is England, et, plus longuement, La souris qui rugissait (Peter Seller) et un panorama du cinéma jamaïcain, de Perry Henzell (The Harder They Come), Dickie Dobson (Countryman), The Lunatic, Dancehall Queen (Don Letts), à l'actrice jamaïcaine Cherine Anderson Pour finir, une BD de Tôma, et une nouvelle noire de Franck Michel (leader des Abhored, 1er groupe français à apposer le logo du Sharp sur un disque)